Pour une éthique des signes.
Science, écriture et idéologie dans l’œuvre de Roland Barthes.
Steven Engels
Scriptie voorgelegd aan de Faculteit Letteren en
Wijsbegeerte,
(afdeling Romaanse Taal- en Letterkunde)
voor het behalen van de graad van
Licentiaat in de Romaanse filologie.
Academiejaar: 1996-1997
Katholieke Universiteit Leuven
Promotor: Prof. Dr. K. Geldof
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En guise d’introduction: par où commencer?
1.“Critique-trajectoire” et “critique-trajet”
2. A propos de deux métaphores barthésiennes
Chapitre premier: De la mythologie à la sémiologie et au-delà
1.1. Le fonctionnement immanent des mythes
1.2. La société moderne selon le premier Barthes
1.3. Le lieu d’énonciation du mythologue
1.4. Conclusion
2.1. Objectif et méthode
2.2. Vérité et validité
2.3. Le réel et le vrai
2.4. Conclusion
3. La science mise en question
3.1. La sémiologie et la science encyclopédique
3.2. De la sémiologie à la sémioclastie
Chapitre deuxième: L’esthétisation du discours théorique
2.1. La production littéraire
2.1.1. Les trois illusions
2.1.2. Le discours “fictionnel”
2.2. De la science à la littérature
2.3. Conclusion
3. La redéfinition de la notion de “théorie”
3.1. La sémiotique comme science critique
3.2. Les “fictions” barthésiennes
4. Le réemploi du discours savant: Barthes et Bataille
5. Conclusion: le discours carnavalesque
Chapitre troisième: Doxa, écriture, plaisir
1.1. Barthes et Sartre
1.2. Qu’est-ce que la littérature?
1.2.1. Prose, poésie et la littérature réflexive
1.2.2. La vision du social
1.3. Le degré zéro de l’écriture
1.3.1. La vision du social
1.3.2. Les trois dimensions de la forme
1.3.3. Histoire et “écriture” au dix-neuvième siècle
1.4. Conclusion
2. Pour une éthique de l’écriture
3.1. La lutte des langages
3.2. La productivité dite “Texte”
3.2.1. Au-delà du structuralisme
3.2.1.1. “L’intertexte” et la “différence”
3.2.1.2. De la structure au texte
3.2.2. Le “lisible” vs. le “scriptible”
3.2.2.1. L’activité de la lecture
3.2.2.2. Conformisme et libération
3.2.3. L’interprétation
3.2.3.1. Le texte pluriel
3.2.3.2. Le pas à pas
3.2.4. Sarrasine
3.2.4.1. Les quatre codes de l’écriture réaliste
3.2.4.2. Le “code symbolique”
3.2.4.3. Sarrasine comme texte-limite
4.1. L’“imaginaire” et l’identification
4.2. Le “modèle” du discours idéologique
4.3. Le plaisir du texte
4.3.1. Le discours instable
4.3.2. Texte de “plaisir”, texte de “jouissance”
Conclusion: De la mythologie au plaisir du texte
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