Comment parler de «corrida» aux Pays-Bas? Des procédés de traduction visant à résoudre les problèmes particulièrement culturels de traduction de deux textes anti-corrida français en néerlandais. (Wendy van Mourik)

 

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PREFACE

 

Le mémoire marque la fin des années d’études. Un mémoire implique un grand travail à écrire pendant quelques mois au moins. Le plus difficile est souvent le choix du sujet. Il en était de même pour moi au début et au cours de ma spécialisation de traduction, lorsque le mémoire n’était pas encore vraiment mon affaire. Cependant, en septembre 2003 j’ai commencé à traduire bénévolement le site Internet du Collectif Anti-Corrida de Fréjus et c’est grâce à cette traduction que j’ai pu choisir mon sujet de mémoire. Je suis vraiment reconnaissante à Mme Breut de m’avoir permis de faire ce travail. De plus, Mme Melka m’a proposé de faire «quelque chose» sur cette traduction. Les idées sont nées. Voici enfin le résultat un an plus tard.

 

Pour la réalisation de ce mémoire je tiens à remercier toutes les personnes qui m’ont aidée. En particulier, je remercie Mme Melka qui m’a accompagnée dans l’écriture de cet immense travail et qui m’a donné des commentaires critiques et valables. Je remercie Mme Breut en deuxième lieu pour sa bonne volonté d’être le deuxième lecteur de ce mémoire. De plus, je tiens à remercier Katherine Bourliascos, Claude Thoraval, Jean-Pierre Garrigues et Elisabeth Hardouin-Fugier qui ont eu la gentillesse de répondre à toutes mes questions concernant le sujet compliqué qu’est la corrida. Par la même occasion je veux remercier mes parents et ma sœur pour tout leur soutien, toute leur patience et tous leurs encouragements durant cette période d’écriture, mon ami Frank pour son aide mentale et technique et tous ceux qui ont toujours été intéressés par mon (sujet de) mémoire.

 

 

Wendy van Mourik

Geldermalsen/Hengelo décembre 2004

 

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