Critique des conditions de la durabilité: application aux indices de développement durable. (Bruno Kestemont)

 

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REMERCIEMENTS

 

Je tiens tout d’abord à remercier vivement le professeur Edwin Zaccaï de m’avoir fait confiance initialement, puis de m’avoir conseillé, orienté judicieusement et encore encouragé puis relu pendant la préparation de ce travail.

 

Je suis un pur produit du CEESE, où le professeur Walter Hecq m’a aidé à faire mes premiers pas dans la recherche sur les indicateurs et modèles d’environnement et de développement durable , et qui n’a jamais refusé, depuis, de m’abreuver de ses connaissances étendues et de ses conseils.

 

Les professeurs Daou Joiris et Christian Vandermotten m’ont donné chacun dans leur domaine des conseils et orientations déterminantes pour les voies que j’ai décidé de creuser, quoiqu’il me reste pas mal de chemin à parcourir dans leur direction.

 

Je pense que feu le professeur Paul Duvigneaud avait réussi à m’enseigner la fibre du «développement durable» avant qu’on n’en parle en ces termes. En me laissant partir étudier les flux écologiques d’un village indien, en guise de mémoire d’agronomie, il devait peut-être se douter du «choc» de ce genre de vécu sur les certitudes de l’occidental rationnel «écologiste» et «développeur» bien trempé que j’étais à la fin de mes études.

 

Le véritable enseignement, je le dois au peuple de Guinée-Bissau , en particulier mes homologues guinéens et mes voisins balantes de Caboxanque ainsi qu’à leurs interprètes culturels que furent Channah Bentein et Dominique Temple. Il me faut dans cette optique encore remercier tous les partenaires des projets «suivis» par ma femme et qui passent à la maison se confronter à mes questions parfois saugrenues sur le développement durable en Afrique : Assane Diop, Sogi Ndiaye, Juliette Compaore, Hortense Yameogo, Gabriel Sobgo, Zéphyrin Belemzigri etc. Je n’oublie pas Véronique Wemaere ni le Dr.Moussa Badji, respectivement ma femme et mon cousin à plaisanterie qui, en bons cerveaux du développement, ne se laissent pas impressionner par le premier argument théorique venu.

 

Cela ne se fait pas, mais je vais quand même remercier feu ma grand-mère, pour un sens étonnant des générations passées et futures, et ma mère et encore ma femme pour le sens des générations présentes que je néglige parfois.

 

Je dois enfin tout particulièrement remercier le Dr. Marc Totté d’avoir accepté de lire le manuscrit et de discuter plusieurs des thèses avancées.

 

Je suis redevable à mon employeur, l’Etat belge, pour m’avoir attribué un crédit de formation pour la réalisation de ce travail.

 

Je m’arrangerai pour que ce travail ne tombe pas dans les mains des oubliés.

 

 

L’AUTEUR

 

Ingénieur agronome «tropical» de l’ULB après avoir séjourné 6 mois dans un village indien pour un mémoire en écologie humaine, BK a ensuite travaillé à un projet de crédit rural dans le Sud de la Guinée-Bissau . Il y a séjourné pendant 2 ans et demi dans un village de riziculteurs balantes à partir duquel il a visité une centaine de villages des 13 ethnies différentes.

 

Il revint comme chercheur au Centre d’Economie politique de l’ULB où il mena pendant 4 ans une étude (néoclassique ) des disparités de développement en Belgique . Dans le même temps , il suivit les cours de la  licence en Civilisation africaine. Il se consacra aussi à plusieurs études, avec le Professeur Hecq, sur les échanges de droits de polluer et les émissions atmosphériques du secteur énergétique.

 

Il travailla ensuite trois ans comme consultant, en particulier au sein de la DG-Environnement (Task-Force de l’Agence européenne de l’environnement) sous la direction du professeur Bourdeau, puis pour le Forum international de bioéthique, l’Agence européenne de l’environnement et des bureaux d’étude en environnement. Las de courir après les contrats, il revint à l’ULB (CEESE) pour une banque de métadonnées sur le développement durable . Il est aujourd’hui responsable des statistiques de l’environnement à l’INS et réalise des études pour Eurostat.

 

 

PREAMBULE

 

Ce travail de fin d’étude de DEA est conçu comme une version préliminaire de la thèse de doctorat dans laquelle il s’inscrit. Il est par conséquent incomplet.

 

En particulier, les chapitres sont ouverts à toute critique et suggestion: des lectures peuvent encore en renforcer ou en nuancer l’argumentation.

 

Le travail est en outre loin d’avoir abouti à sa fin. Après avoir critiqué l’existant et proposé des voies de recherche, il reste à:

Nous espérons être alors à même d’aider la recherche d’indices de développement durable à se focaliser ou au moins à éviter les voies probablement sans issues du style du «PIB vert».

 

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